JO-2026: des Jeux qui laisseront une empreinte durable ?
Après trois éditions pharaoniques et controversées, les Jeux d'hiver feront leur retour en 2026 dans leur berceau des Alpes avec une promesse, en faire les premiers Jeux 100% éco-responsables de l'histoire, qui déconcerte les associations de protection de l’environnement.
Quand 34 milliards d'euros ont été dépensés en 2014 par la Russie à Sotchi pour les JO les plus chers de l'histoire, quand la Corée du Sud, en 2018, a transformé ses montagnes pour créer des stations de ski, et quand la Chine, en 2022, a artificiellement enneigé ses JO de Pékin, les sports d'hiver ont déjà leurs habitudes dans les Dolomites et Alpes italiennes.
Ce qui a permis aux organisateurs des JO-2026 d'utiliser à 90% des sites déjà existants, comme Anterselva (biathlon), le Val di Fiemme (ski nordique) ou encore Cortina d'Ampezzo et Bormio pour le ski alpin.
Après trois éditions pharaoniques et controversées, les Jeux d'hiver feront leur retour en 2026 dans leur berceau des Alpes avec une promesse, en faire les premiers Jeux 100% éco-responsables de l'histoire, qui déconcerte les associations de protection de l’environnement.
Quand 34 milliards d'euros ont été dépensés en 2014 par la Russie à Sotchi pour les JO les plus chers de l'histoire, quand la Corée du Sud, en 2018, a transformé ses montagnes pour créer des stations de ski, et quand la Chine, en 2022, a artificiellement enneigé ses JO de Pékin, les sports d'hiver ont déjà leurs habitudes dans les Dolomites et Alpes italiennes.
Ce qui a permis aux organisateurs des JO-2026 d'utiliser à 90% des sites déjà existants, comme Anterselva (biathlon), le Val di Fiemme (ski nordique) ou encore Cortina d'Ampezzo et Bormio pour le ski alpin.