Les effets secondaires positifs de la formation – 2ème partie
Les 5 seconds effets secondaires positifs de la formation Si vous avez raté notre article précédent, n’hésitez pas à consulter les 5 premiers effets secondaires de la formation en cliquant ici. 6) La fidélité à l’entreprise Pour un salarié, bénéficier d’une formation, c’est certainement davantage un motif de fidélité que de départ de l’entreprise. Car [...]
Les 5 seconds effets secondaires positifs de la formation
Si vous avez raté notre article précédent, n’hésitez pas à consulter les 5 premiers effets secondaires de la formation en cliquant ici.
6) La fidélité à l’entreprise
Pour un salarié, bénéficier d’une formation, c’est certainement davantage un motif de fidélité que de départ de l’entreprise. Car il y a à la fois une certaine reconnaissance à l’égard de son employeur et une aisance dans le poste qui en résulte.
7) Le désir de se (re)mettre en dynamique d’évolution de carrière
Une nouvelle dynamique de carrière peut naître d’une formation importante, à condition qu’elle aiguise la curiosité, qu’elle interroge, d’une certaine manière, qu’elle dérange….
8) Le décloisonnement et le partage d’une culture commune
vec les crises successives et les nouveaux rapports au travail, d’autres priorités ont vu le jour. Mais ce thème reviendra probablement d’actualité dans un futur proche. Et l’organisation de la formation sera probablement réinterrogée.
9) La diffusion des acquis et la généralisation de méthodes nouvelles
« Quand un apprenant est bien formé, c’est 10 collègues bien formés ! »
10) Le développement d’innovation
Lorsque la formation sort des sentiers battus, l’effet secondaire devient parfois primaire. C’est le cas avec l’Action learning.
Apprentissage et résolution de problème sont ainsi intimement liés. Et on ne sait plus très bien de ces deux finalités, laquelle est la plus importante.
Repenser la formation à l’aune de ses effets secondaires positifs
Ces effets secondaires sont pourtant rarement explicités. Généralement, les commanditaires n’en ont pas vraiment conscience. Et les ingénieurs pédagogiques focalisés sur leurs sacro-saints “objectifs pédagogiques”, ont bien du mal à leur trouver une place sur leur totem qu’est devenue la “taxonomie de Bloom”. Quant aux responsables de formation, toujours en quête de datas pour alimenter leurs LMSou TMS, ils se disent que ce qui “ne se trace pas” n’a pas de valeur, par conséquent à quoi bon s’embêter avec ça !